The House That Jack Built : film fascinant à la violence insoutenable de Lars von Trier



Matt Dillon, tueur psychopathe dans The House That Jack Built 


The House That Jack Built

A la fois conte moral et film d'horreur 
jeudi 5 novembre à 23.40 sur ARTE
VOSTF
Disponible sur arte.tv du 04/11/2020 au 11/11/2020


Les confidences de Jack, piètre architecte et terrifiant psychopathe. Un film fascinant à la violence insoutenable, ironique autoportrait au cours duquel Lars von Trier explore les bas fonds de l'âme humaine.


Uma Thurman, Matt Dillon

Synopsis
États-Unis, dans les années 1970. Architecte raté, Jack a toujours rêvé de construire sa propre maison. Mais à cause de son perfectionnisme compulsif, il n’y est jamais parvenu. C’est aussi un tueur en série sadique. Se confiant à un interlocuteur invisible et désapprobateur, nommé Verge, il raconte les atrocités impunies qu’il a commises au cours d’une sombre période de douze ans.

Architecte du crime
En 2014, Lars von Trier décide de faire de l’enfer son prochain sujet de film. Après de longues recherches, il resserre le cadre sur les meurtriers psychopathes et les tueurs en série, aboutissant ainsi au personnage de Jack, génialement interprété par Matt Dillon. Le cinéaste n’est pas du genre à s’autocensurer et le film contient l’intégralité des meurtres et supplices perpétrés par son héros, qui se rêve en architecte du crime. Annoncé lors de sa présentation à Cannes comme une succession de scènes insoutenables, The House that Jack Built est aussi monumental et intime à la fois, pétri d’humour noir, de doutes et de questionnements. Constamment surprenant, d’une inspiration folle, le film propose une réflexion vertigineuse sur la création et le mal, au cours de laquelle le cinéaste se livre comme jamais.

Matt Dillon, psychopathe dans The House That Jack Built 



Film de Lars von Trier (Danemark/Suède/Allemagne, 2018, 2h26mn, VOSTF) - Scénario : Lars von Trier - Avec : Uma Thurman (femme n° 1), Matt Dillon (Jack), Bruno Ganz (Verge), Siobhan Fallon Hogan (femme n° 2), Sofie Grabol (femme n° 3), Riley Keough (Simple), Jeremy Davies (Al), Ed Speleers (Ed) 




Commentaires