"Blow up" consacré à David Lynch pour la 400ème édition du web magazine cinéphile d'ARTE
Dès aujourd’hui sur arte.tv et sur la chaîne Youtube Blow up
Pour sa 400ème, Blow up concocte un numéro entièrement dédié à David Lynch et son univers inclassable, grande source d’inspiration du webmagazine cinéphile d’ARTE et de son créateur Luc Lagier depuis sa première édition en 2010.
Bientôt dix ans, en octobre, que le ludique Blow up, coproduit par ARTE France et Camera Lucida, fait le bonheur des cinéphiles, avec déjà 1200 sujets déclinés de “Top 5” en “C’est quoi /C’était quoi”, de “5 raisons de revoir” en thématiques pointues ou décalées.
Suivi par quelque 133 000 abonnés sur sa chaîne YouTube, Blow up pose son regard ludique et subjectif sur le grand réalisateur David Lynch.
Au programme, ses génériques, ses musiques, ses acteurs fétiches vus par les chroniqueurs :
› La réalisatrice Laetitia Masson cisèle une lettre-hommage à l’acteur Kyle MacLachlan (Twin Peaks, Blue Velvet)
Au programme, ses génériques, ses musiques, ses acteurs fétiches vus par les chroniqueurs :
› La réalisatrice Laetitia Masson cisèle une lettre-hommage à l’acteur Kyle MacLachlan (Twin Peaks, Blue Velvet)
Benoît Forgeard élabore une théorie ironique autour d’un détail de sa carrière :
le PVC
› Alexandre Vuillaume Tylski revisite les génériques du maître
› Luc Lagier mitonne une rétro de sa carrière; en une poignée de minutes au style caractéristique (montage d’extraits et voix off inspirés) désormais viral sur la Toile, une traversée express de l’œuvre lynchienne qui, comme toujours, devrait susciter l’envie de s’y replonger illico !
› Le critique Thierry Jousse honore Angelo Badalamenti, son compositeur attitré.
le PVC
› Alexandre Vuillaume Tylski revisite les génériques du maître
› Luc Lagier mitonne une rétro de sa carrière; en une poignée de minutes au style caractéristique (montage d’extraits et voix off inspirés) désormais viral sur la Toile, une traversée express de l’œuvre lynchienne qui, comme toujours, devrait susciter l’envie de s’y replonger illico !
› Le critique Thierry Jousse honore Angelo Badalamenti, son compositeur attitré.
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