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Stallone, Profession héros, portrait sans concession de la star américaine sur ARTE



Stallone, Profession héros

Portrait musclé de l'icône du cinéma US


Les hauts et les bas de "Sly" qui, tel Rocky, son indestructible alter ego, s'est toujours relevé malgré les coups. Le portrait riche en testostérone d'un costaud attendrissant et non dénué d'humour.


Diffusion vendredi 26 avril à 22.25 sur ARTE
En ligne du 20 avril au 2 mai 2019




Un poing levé, des yeux qui tombent, une voix reconnaissable entre mille… Dès son premier film, il est devenu une icône différente de tout ce qu’Hollywood avait connu jusqu’alors : primale et sensible, bientôt surpuissante.


Stallone, Profession héros

Acteur mais aussi scénariste méconnu, celui que l’on surnomme “Sly” a su se créer sur mesure deux des héros les plus populaires de l’histoire du cinéma : Rocky et Rambo. Les malentendus et les paradoxes qui accompagnent sa carrière à rebondissements vont le mener de l’anonymat au triomphe, de la gloire à la moquerie. Stallone prend les coups mais ne s’avoue jamais totalement au tapis… Au bout de plus de quarante ans de carrière, après huit Rocky, cinq Rambo et des dizaines d’autres films, son histoire, si typiquement américaine, raconte aussi une certaine histoire de l’Amérique (celle de Reagan).


Stallone, Profession héros


Un loser qui a réussi D'extrait de films en archives d'interview, où Sly dégaine des punchlines pleines d'autodérision, ce documentaire montre comment l'acteur mord la poussière mais se relève infailliblement, y compris lorsque, après le succès de Rocky, il perd le sens des réalités et devient un habitué de la presse à scandale. Habile à recycler ses déboires, il racontera cette période bling-bling dans le deuxième épisode de la saga. Le portrait, riche en testostérone, d'un loser bodybuildé, mais également sensible et doté d'humour, que son besoin de reconnaissance et sa ténacité rendent attachant.
Un film de Clélia Cohen et Antoine Coursat
Coproduction : 
ARTE France, AGAT Films & Cie
(2018- 52’)

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