Ready Player One, remarquable film d'aventures de Steven SPIELBERG
Une épopée grandiose et tentaculaire qui nous fait vivre des allers-retours entre deux mondes radicalement différents.
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Synopsis
Wade décroche la première manche d'une chasse au trésor qui défie les lois de la physique. Dès lors, avec ses amis du High Five, il se retrouve projeté dans un monde parallèle à la fois mystérieux et inquiétant tout en cherchant à sauver l'OASIS.
4/5 Excellent divertissement (et satire sociale) destiné aux adolescents, intelligent et fin, qui rend aussi hommage aux classiques du cinéma. Technique remarquable !
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Ready Player One |
Critique : du livre à l’écran
Il y a un peu plus de trente ans, la perspective de se connecter à un ordinateur et de se créer un profil avant d’entrer en contact en temps réel avec des gens aux quatre coins de la planète semblait quasi inconcevable. Mais imaginez que dans 30 ans on puisse se connecter à un ordinateur, devenir son propre avatar — plus ou moins authentique — et nouer des relations avec des gens dans un univers virtuel sans limites ? Les possibilités seraient infinies… mais les risques aussi.Voilà le postulat de "Player One", bestseller d’Ernest Cline qui a inspiré Steven Spielberg. « Ernest Cline est pour moi un visionnaire : il a imaginé un avenir qui n’est pas loin de celui qui nous attend étant donné les évolutions de la réalité virtuelle »
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S’évader d’un monde réel sombre et difficile à vivre
L’intrigue de "Player One" se situe en 2045, à une époque où les êtres humains ont la possibilité d’évoluer dans un monde virtuel numérique baptisé OASIS : ils peuvent aller partout où ils le souhaitent, faire tout ce qu'ils veulent, et devenir la personne – ou la créature – de leur choix. Dans une société dystopique frappée par le chômage, la pauvreté, la surpopulation et un profond sentiment de désespoir, c’est le moment parfait pour s'évader dans un monde virtuel où l’on peut mener une existence extraordinaire par l’intermédiaire de son avatar, raconte Steven Spielberg.
Il suffit d’un peu d’imagination pour plonger jusqu'aux confins de l’OASIS. Mais en fuyant la réalité, on se coupe aussi d’une certaine façon de tout véritable contact humain. L’histoire est donc divertissante, mais elle tient aussi de la satire sociale.
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Une performance technique
La production a accompli des prouesses en matière d’innovations techniques : Steven Spielberg a collaboré avec les plus grands noms des effets visuels, et tout particulièrement ILM et Digital Domain, pour réussir à plonger les spectateurs dans l’univers fantastique de l’OASIS. Afin d’accentuer le contraste flagrant entre l’OASIS et le monde réel, bien plus aride, Steven Spielberg a filmé les scènes du quotidien en 35 mm, tandis que les séquences qui se passent dans le monde virtuel ont été tournées en numérique.
"L’effet de superposition qu’il a fallu produire pour l’OASIS reste le dispositif le plus complexe que j’aie jamais mis en place", estime le cinéaste. Il a fallu utiliser à la fois la motion capture, la prise de vue réelle, et l’animation par ordinateur… C’était vraiment comme si on réalisait quatre films en un.
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Ready Player One une société dystopique |
Un film de science fiction optimiste
Le côté « technique avancé « de ce film de film de science-fiction et d'aventure est doublé d'une formidable histoire d'amitié et d'un récit initiatique plein d'optimisme, mené tambour battant avec le sens du spectaculaire, la générosité et l'imagination débridée de Steven Spielberg qui souligne : "Je ne mets jamais un film au service de la technologie, mais toujours la technologie au service du film. Elle permet de réaliser ce genre de films, mais il faut réussir à la faire complètement disparaître pour qu’on ne se concentre que sur l’histoire et les personnages".
Steven Spielberg étant aussi pétri de culture cinématographique, on ne s’étonne pas de trouver plein de références à la culture pop (retour vers le futur, Charlie et la Chocolaterie) en particulier des références au film Shining de Stanley Kubrick : entrée dans l’hôtel, l’apparition de jumeaux au fond d’un couloir, le sang qui dégouline le long d’un mur, et la musique du Dies Irae.
Olivia Cooke dans le rôle de Samantha, alias Art3mis, figure mythique de l'OASIS, aussi intrépide en tant que créature qu'en tant que joueuse ;
Lena Waithe dans le rôle d'Aech, meilleur ami de Parzival : mi-homme, mi-machine, il est aussi dur à cuire dans la vraie vie, sauf qu'il n'a pas le même sexe …puisqu'il s'agit d'Helen;
Ben Mendelsohn dans le rôle du démiurge Halliday, le créateur du jeu l'Oasis
Win Morisaki dans le rôle du timide Toshiro, alias Daito, puissant et redoutable guerrier samouraï dans l'OASIS;
Philip Zhao dans le rôle de Sho, maître chinois des arts martiaux qui, dans le monde réel, est un gamin sarcastique de 11 ans du nom de Zhou.
1er roman d'Ernest Cline, envisageant un futur ancré dans la culture pop des années 80. Paru en 2011, "Player One" est devenu un phénomène planétaire, publié dans 58 pays et traduit dans 37 langues. Selon Cline, la transposition de son roman à l'écran par un cinéaste mythique est, selon ses termes, "bien plus qu'un rêve qui se concrétise. Ce n'est même pas un rêve que je me serais permis de faire".
2 tournages consécutifs : le premier sur le plateau virtuel des studios Leavesden de Warner qui a repoussé les limites des technologies de tournage numérique ; le second, en prises de vue réelles, dans des décors en dur et des sites naturels du Royaume-Uni. Par la suite, les images de ces deux tournages ont été harmonieusement montées par Spielberg et son équipe pour embarquer le spectateur dans un périple délirant à travers l'univers de READY PLAYER ONE.
2 univers en rivalité : un monde urbain post-apocalyptique et chaotique, ravagé par la crise économique et environnementale ; et un univers virtuel et utopique ultra-stylisé, qui semble sans limite, où les hommes du monde entier, en 2045, se rendent pour fuir leur quotidien.
2 versions des mêmes personnages campés par de jeunes comédiens – l'un est un être humain de chair et de sang, l'autre un avatar numérique – qui font équipe dans les deux mondes pour former le "Top Cinq", bande de héros malgré eux :
3ème collaboration entre Spielberg et Mark Rylance, après LE B.G.G. – LE BON GROS GÉANT et LE PONT DES ESPIONS. Cette fois, Rylance campe l'inventeur visionnaire des jeux James Halliday, personnage qui, selon le réalisateur, est "proche de moi et cher à mon coeur".
3ème tournage le plus difficile jamais entrepris par Spielberg (d'après son propre témoignage) après LES DENTS DE LA MER et IL FAUT SAUVER LE SOLDAT RYAN, et ce pour les mêmes raisons : à chaque fois, le cinéaste a tenté de mettre au point une expérience cinématographique tangible et réaliste pour le spectateur. C'est ainsi que celui-ci a le sentiment de se retrouver au milieu des requins, au large d'Amity, sous les feux nourris des soldats sur la plage d'Omaha Beach ou encore propulsé à travers un monde féerique – et numérique – qui brouille la frontière entre réalité et univers virtuel.
4 décors tentaculaires conçus par le chef-décorateur Adam Stockhausen et construits en studio et sur d'immenses plateaux à Leavesden, à l'instar de la maison de Wade Watts dans les "Piles", empilage de mobil-homes délabrés aussi haut qu'un gratte-ciel, ou encore du bureau élégant de Sorrento au sein du QG de IOI, du trône haptique, de la Salle de commandement de Sixer où Sorrento déploie sa horde d'avatars Sixers – surnommés ainsi en raison de leur numéro de série composé de six chiffres, démarrant tous par 6 – , et du centre de Fidélité d'IOI où les plus indigents, retenus prisonniers du monde virtuel, triment pour effacer leur dette.
5 drones déployés par la chef de la sécurité d'IOI, F'Nale Zandor (Hannah John-Kamen), pour bombarder le mobil-home des Piles de Columbus où vit Wade avec sa tante Alice (Susan Lynch) et son petit copain (Ralph Ineson) et rayer définitivement le plus grand rival de Sorrento du tableau.
5ème collaboration de Spielberg avec le compositeur Alan Silvestri en tant que producteur, mais la première comme réalisateur. Fan du musicien depuis les années 80, le cinéaste a engagé Silvestri pour accompagner la narration de READY PLAYER ONE à travers une partition qu'il qualifie de "résolument et follement originale" et une série "de clins d'oeil musicaux" fondus dans l'ensemble, à l'instar des premières notes de la propre bande-originale de Silvestri composée pour RETOUR VERS LE FUTUR, une de ses premières compositions pour Robert Zemeckis, ami et fidèle collaborateur de Spielberg.
6ème adaptation d'un livre de science-fiction, après "La guerre des mondes" de H.G. Wells, "Jurassic Park" et "Le monde perdu" de Michael Crichton, "Supertoys (Intelligence artificielle et autres histoires du futur)" de Brian Aldiss, "Rapport minoritaire" de Philip K. Dick et … le propre scénario et roman signés Steven Spielberg, tirés de son chef d'oeuvre RENCONTRES DU TROISIÈME TYPE (1977).
6 tours du quartier des Piles de Columbus, construites à partir de 60 véritables mobil-homes hissés sur le plateau de Leavesden, puis empilés les uns après les autres sur une colonne constituée de poutres métalliques : cette construction est le fruit de la collaboration entre le département artistique de Stockhausen, piloté par le directeur artistique Stuart Rose, et les équipes effets spéciaux et cascades. Une fois que le réalisateur, ses comédiens et ses techniciens ont achevé le tournage des séquences des Piles sur le gigantesque plateau – si imposant qu'il était visible depuis l'autoroute M25 voisin –, les artistes de Digital Domain l'ont décuplé en postproduction pour obtenir le paysage urbain désolé qu'on découvre dans le film.
9 références du roman d'Ernest Cline à des films emblématiques des années 80, produits ou réalisés par Spielberg (dont deux sont cités nommément), même s'ils ne sont pas tous cités dans le film. Comme l'a expliqué le réalisateur au public nombreux du Comic-Con l'an dernier : "Il a fallu que j'élimine pas mal de mes propres oeuvres". À trois exceptions notables : "Rexy", le tyrannosaure de JURASSIC PARK, la DeLorean de RETOUR VERS LE FUTUR qui transporte Parzival à travers l'OASIS, et Parzival lui-même, antihéros typiquement spielbergien.
9 véhicules emblématiques – parmi les nombreux autres bolides – qui foncent à tombeau ouvert à travers un New York ultra-stylisé : Parzival pilotant la DeLorean customisée, Art3mis chevauchant la moto de Kaneda, tout droit sortie d'AKIRA, et Aech au volant de l'énorme camion Bigfoot lancés dans une course des plus périlleuses aux côtés de l'Interceptor de MAD MAX, la Mach 5 de SPEED RACER, la Plymouth Fury Christine de 1959, la fourgonnette de L'AGENCE TOUS RISQUES, la voiture de F1 de POLE POSITION et la Batmobile version 1966.
29ème film de Spielberg monté par le grand chef-monteur Michael Kahn (assisté de la monteuse Sarah Broshar, qui avait monté LES AVENTURES DE TINTIN). Leur collaboration a démarré avec RENCONTRES DU TROISIÈME TYPE et a valu à Kahn trois Oscars (pour LES AVENTURIERS DE L'ARCHE PERDUE, LA LISTE DE SCHINDLER et IL FAUT SAUVER LE SOLDAY RYAN) sur sept nominations.
Les acteurs
Tye Sheridan dans le rôle de Wade Watts, garçon timide et solitaire dont l'avatar Parzival réunit toutes les qualités qu'il aimerait avoir ;Olivia Cooke dans le rôle de Samantha, alias Art3mis, figure mythique de l'OASIS, aussi intrépide en tant que créature qu'en tant que joueuse ;
Lena Waithe dans le rôle d'Aech, meilleur ami de Parzival : mi-homme, mi-machine, il est aussi dur à cuire dans la vraie vie, sauf qu'il n'a pas le même sexe …puisqu'il s'agit d'Helen;
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Ben Mendelsohn |
Ben Mendelsohn dans le rôle du démiurge Halliday, le créateur du jeu l'Oasis
Win Morisaki dans le rôle du timide Toshiro, alias Daito, puissant et redoutable guerrier samouraï dans l'OASIS;
Philip Zhao dans le rôle de Sho, maître chinois des arts martiaux qui, dans le monde réel, est un gamin sarcastique de 11 ans du nom de Zhou.
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Olivia Cooke, Tye Sheridan, une histoire d'amitié |
Ready Player One en quelques chiffres
1er film se déroulant dans un univers virtuel signé par le cinéaste visionnaire dont les films ont affolé le box-office, redéfini la culture populaire, remporté des Oscars et inspiré plusieurs générations d'artistes… y compris l'auteur et coscénariste de READY PLAYER ONE, Ernest Cline.1er roman d'Ernest Cline, envisageant un futur ancré dans la culture pop des années 80. Paru en 2011, "Player One" est devenu un phénomène planétaire, publié dans 58 pays et traduit dans 37 langues. Selon Cline, la transposition de son roman à l'écran par un cinéaste mythique est, selon ses termes, "bien plus qu'un rêve qui se concrétise. Ce n'est même pas un rêve que je me serais permis de faire".
2 tournages consécutifs : le premier sur le plateau virtuel des studios Leavesden de Warner qui a repoussé les limites des technologies de tournage numérique ; le second, en prises de vue réelles, dans des décors en dur et des sites naturels du Royaume-Uni. Par la suite, les images de ces deux tournages ont été harmonieusement montées par Spielberg et son équipe pour embarquer le spectateur dans un périple délirant à travers l'univers de READY PLAYER ONE.
2 univers en rivalité : un monde urbain post-apocalyptique et chaotique, ravagé par la crise économique et environnementale ; et un univers virtuel et utopique ultra-stylisé, qui semble sans limite, où les hommes du monde entier, en 2045, se rendent pour fuir leur quotidien.
2 versions des mêmes personnages campés par de jeunes comédiens – l'un est un être humain de chair et de sang, l'autre un avatar numérique – qui font équipe dans les deux mondes pour former le "Top Cinq", bande de héros malgré eux :
3ème collaboration entre Spielberg et Mark Rylance, après LE B.G.G. – LE BON GROS GÉANT et LE PONT DES ESPIONS. Cette fois, Rylance campe l'inventeur visionnaire des jeux James Halliday, personnage qui, selon le réalisateur, est "proche de moi et cher à mon coeur".
3ème tournage le plus difficile jamais entrepris par Spielberg (d'après son propre témoignage) après LES DENTS DE LA MER et IL FAUT SAUVER LE SOLDAT RYAN, et ce pour les mêmes raisons : à chaque fois, le cinéaste a tenté de mettre au point une expérience cinématographique tangible et réaliste pour le spectateur. C'est ainsi que celui-ci a le sentiment de se retrouver au milieu des requins, au large d'Amity, sous les feux nourris des soldats sur la plage d'Omaha Beach ou encore propulsé à travers un monde féerique – et numérique – qui brouille la frontière entre réalité et univers virtuel.
4 décors tentaculaires conçus par le chef-décorateur Adam Stockhausen et construits en studio et sur d'immenses plateaux à Leavesden, à l'instar de la maison de Wade Watts dans les "Piles", empilage de mobil-homes délabrés aussi haut qu'un gratte-ciel, ou encore du bureau élégant de Sorrento au sein du QG de IOI, du trône haptique, de la Salle de commandement de Sixer où Sorrento déploie sa horde d'avatars Sixers – surnommés ainsi en raison de leur numéro de série composé de six chiffres, démarrant tous par 6 – , et du centre de Fidélité d'IOI où les plus indigents, retenus prisonniers du monde virtuel, triment pour effacer leur dette.
5 drones déployés par la chef de la sécurité d'IOI, F'Nale Zandor (Hannah John-Kamen), pour bombarder le mobil-home des Piles de Columbus où vit Wade avec sa tante Alice (Susan Lynch) et son petit copain (Ralph Ineson) et rayer définitivement le plus grand rival de Sorrento du tableau.
5ème collaboration de Spielberg avec le compositeur Alan Silvestri en tant que producteur, mais la première comme réalisateur. Fan du musicien depuis les années 80, le cinéaste a engagé Silvestri pour accompagner la narration de READY PLAYER ONE à travers une partition qu'il qualifie de "résolument et follement originale" et une série "de clins d'oeil musicaux" fondus dans l'ensemble, à l'instar des premières notes de la propre bande-originale de Silvestri composée pour RETOUR VERS LE FUTUR, une de ses premières compositions pour Robert Zemeckis, ami et fidèle collaborateur de Spielberg.
6ème adaptation d'un livre de science-fiction, après "La guerre des mondes" de H.G. Wells, "Jurassic Park" et "Le monde perdu" de Michael Crichton, "Supertoys (Intelligence artificielle et autres histoires du futur)" de Brian Aldiss, "Rapport minoritaire" de Philip K. Dick et … le propre scénario et roman signés Steven Spielberg, tirés de son chef d'oeuvre RENCONTRES DU TROISIÈME TYPE (1977).
6 tours du quartier des Piles de Columbus, construites à partir de 60 véritables mobil-homes hissés sur le plateau de Leavesden, puis empilés les uns après les autres sur une colonne constituée de poutres métalliques : cette construction est le fruit de la collaboration entre le département artistique de Stockhausen, piloté par le directeur artistique Stuart Rose, et les équipes effets spéciaux et cascades. Une fois que le réalisateur, ses comédiens et ses techniciens ont achevé le tournage des séquences des Piles sur le gigantesque plateau – si imposant qu'il était visible depuis l'autoroute M25 voisin –, les artistes de Digital Domain l'ont décuplé en postproduction pour obtenir le paysage urbain désolé qu'on découvre dans le film.
9 références du roman d'Ernest Cline à des films emblématiques des années 80, produits ou réalisés par Spielberg (dont deux sont cités nommément), même s'ils ne sont pas tous cités dans le film. Comme l'a expliqué le réalisateur au public nombreux du Comic-Con l'an dernier : "Il a fallu que j'élimine pas mal de mes propres oeuvres". À trois exceptions notables : "Rexy", le tyrannosaure de JURASSIC PARK, la DeLorean de RETOUR VERS LE FUTUR qui transporte Parzival à travers l'OASIS, et Parzival lui-même, antihéros typiquement spielbergien.
9 véhicules emblématiques – parmi les nombreux autres bolides – qui foncent à tombeau ouvert à travers un New York ultra-stylisé : Parzival pilotant la DeLorean customisée, Art3mis chevauchant la moto de Kaneda, tout droit sortie d'AKIRA, et Aech au volant de l'énorme camion Bigfoot lancés dans une course des plus périlleuses aux côtés de l'Interceptor de MAD MAX, la Mach 5 de SPEED RACER, la Plymouth Fury Christine de 1959, la fourgonnette de L'AGENCE TOUS RISQUES, la voiture de F1 de POLE POSITION et la Batmobile version 1966.
29ème film de Spielberg monté par le grand chef-monteur Michael Kahn (assisté de la monteuse Sarah Broshar, qui avait monté LES AVENTURES DE TINTIN). Leur collaboration a démarré avec RENCONTRES DU TROISIÈME TYPE et a valu à Kahn trois Oscars (pour LES AVENTURIERS DE L'ARCHE PERDUE, LA LISTE DE SCHINDLER et IL FAUT SAUVER LE SOLDAY RYAN) sur sept nominations.
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