Johnny Hallyday, OVERDOSE de "que je t'aime"



Johnny Halliday

Une voix, une gueule, une star très (trop) populaire,
nous a quitté


Johnny était l'icône de toute une époque, le passage du noir et blanc à la couleur, le James Dean français de la "Fureur de Vivre", un homme de droite mais le coeur à gauche, généreux, sincère, un artiste archi connu en France,  mais qui n'avait pas percé en dehors des frontières nationales. Une association des contraires, honnis par l'intelligentsia culturelle parisienne (Claude Sarraute en première de cordée) mais révélé par Charles Aznavour avec son premier slow "Retiens la Nuit" et une suite de tubes "je suis né dans la rue" 




puis "que je t'aime"  « Quelque chose de Tennessee » (Michel Berger) « Allumer le feu »…
Johnny était aussi une vedette de cinéma et donnait la réplique à 
Catherine Deneuve dans son premier film dans les années 1960. Des Parisiennes, en 1962, où il pousse la chansonnette pour Catherine Deneuve, aux films de Claude Lellouch où il tient le premier rôle, le chanteur s’est essayé à de nombreux genres.

En cinquante ans de carrière au cinéma, Johnny Hallyday a croisé de grands acteurs et actrices, comme Lino Ventura, Fanny Ardant, Nathalie Baye et Claude Brasseur, et collaboré avec des grands réalisateurs comme Jean-Luc Godard, Claude Lellouch ou encore Johnnie To.





Hommage national à Johnny Halliday 

Le conseiller technique culture de Emmanuel Macron a travaillé toute la nuit pour rendre un hommage appuyé au chanteur le plus célèbre de France, 




Ses amis chanteurs, la bande de "Salut les Copains" Eddy Mitchel, Sylvie Vartan, Michel Polnareff (l'ami américain) tous pleurent la mort de Johnny




Jean Louis Aubert aussi
et son plus bel hommage américain vient de son ami Lenny Kravitz 








Enfin le dernier hommage vient de PNB (personne ne bouge) sur la chaine ARTE : "on a tous quelque chose de Johnny"




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